lundi 30 mars 2015

‪Esthétique et processus de création / Hopare, Kashink & NIARK1 x Converse Get Loud : Paris‬







Live posters customisation for Converse 
inside the parisian subway.
- avec l’autorisation exceptionnelle de Métrobus, 
la régie publicitaire de la RATP -












Esthétique et processus de création / Peachbeach – Tapeart for Nike Stadium Berlin





Les gars de Peachbeach ont posé des illustrations 
avec du scotch adhésif pour Nike Stadium Berlin 
partout dans la ville et notamment sur un camion 
avec un DJ à l’intérieur dans le but de 
supporter la Graviteam Berlin.



‪Esthétique et processus de création / Yacoel Vert Hier‬


‪intermède vidéo / Belleville filme ton quartier‬


McDonald’s : des « billboards-ardoises » géants, dessinés à la main !


Nouvelle initiative très intéressante et très sympathique en Pologne, McDonald’s Varsovie a mis devant son fast-food le plus fréquenté de la ville : un immense billboard, fait à la main. 
Ce concept s’appuie sur les célèbres ardoises des restaurants, sur lesquelles les restaurateurs annoncent quotidiennement leur plat du jour. Cette idée de DDB Varsovie permet de souligner habilement la fraîcheur des produits proposés dans ce fast-food McDonald’s.


‪MY ADIDAS - The Music Video by RUN DMC‬

Popularisation et récupération d’un marginalisme artistique

Le rap, une liberté d’expression mort-née ou mort vivante ?
Plus qu’une simple ligne de démarcation rigide, c’est un jeu de va-et-vient qui s’opère entre la culture officielle et officialisée (ou normalisatrice, car consensuelle) et la culture marginale et officieuse (dite mineure, car anticonformiste). La contre-culture musicale peut être sophistiquée et transformée en commodité économique par le processus d’absorption capitaliste des opportunités commercialisables. « Banalisée » (Durham, Kellner, 2002 : 117) et appelée à se fondre dans la masse officiellement publicisée par l’industrie médiatique, toute opportunité est admise dans le processus de l’offre et de la demande. Grandement assistés par les fanzines et magazines spécialisés, les artistes intériorisent eux-mêmes les règles du jeu du monde de l’économie. Tout comme la spiritualité afro-caribéenne de la reggae music et de son personnage emblématique, Bob Marley, sont devenus, à l’image de l’activisme anti-impérialiste cubain de Che Guevara, une représentation critique rendue consensuelle (c’est-à-dire pratiquement purgée ou relativement déconnectée de toutes attitudes marginales et pensées revendicatrices qu’il a pu avoir), de nombreuses figures de proue du rap américain et français sont enrôlées par d’importants médias internationaux. C’est le cas des rappers Xzibit et de Snoop Dogg (qui animent respectivement les émissions Pimp My Ride et Doggy Fizzle Televizzle sur la chaîne MTV) ; le rap français n’est pas en reste : Joey Starr (exmembre de NTM) ou DJ Kheops (membre de IAM) ont longtemps animé une émission régulière sur la radio nationale Skyrock. De plus, nombreux sont les artistes qui vont jusqu’à signer des contrats avec des marques transnationales incontournables, et donc servir de « mannequins » (ou prestataires de service) pour vanter différents produits industriels : le chercheur Robert McChesney (2004 : 156-157) souligne les transactions et accords entre le groupe Run DMC et la firme de sportswear Adidas (en 1986, les rappers auraient reçu plus d’un million de dollars pour chausser une série de baskets), entre le label de rap Def Jam et l’entreprise informatique Hewlett Packard (en 2002, les deux parties ont fait un échange de bons procédés, avec, d’une part, des titres musicaux divertissants qui habillent les messages publicitaires, et, d’autre part, des instruments informatiques performants).

Laurent Beru 

sources : http://questionsdecommunication.revues.org/7936





RUN-DMC - Walk This Way‬

‪Mentalgassi for Amnesty International‬


Brothers and Sisters creative team Lisa Jelliffe and Kirsten Rutherford have teamed up with the anonymous German street art collective Mentalgassi, to create art installations for Amnesty International.
We've called the installations 'Making the invisible visible'. They highlight the case of Troy Davis, a man who has been on death row for 19 years in the USA, despite serious doubts about his conviction. The posters are displayed on fence railings. Front on, you see nothing but bars. Troy's face only becomes visible from an angle. Please help save Troy from being executed.




IKEA se met au Street Art


Pour célébrer la semaine du design de Milan, IKEA a décidé de s’essayer au Street Art le temps d’une opération de guerilla marketing.
IKEA a donc engagé des artistes du Street Art pour investir une station de métro milanaise et décorer ses propres annonces publicitaires. A la manière de Banksy et Obey, les artistes ont collé, sur les publicités IKEA, des visuels noirs et blancs représentant des personnes, des animaux et des objets du quotidien. Ainsi, ils ont transformé de simples annonces publicitaires en véritables scènes de vie. Mais pour créer davantage le buzz, ils ont également habillé l’entrée et l’intérieur de la station de métro avec comme message « IKEA : People make design to life ».




Esthétique et processus de création / quelques visuels sur Paris / 2

 Square Jehan-Rictus,
place des Abbesses

 Square Jehan-Rictus,
place des Abbesses

rue de l'Ourcq

rue de l'Ourcq

rue de l'Ourcq

street marketing

street marketing

Belleville, rue Dénoyez

Belleville, rue Dénoyez

 rue des Pyrénées

rue des Pyrénées

rue des Pyrénées

rue des Pyrénées

rue des Pyrénées

rue des Pyrénées

rue des Pyrénées

rue des Pyrénées

rue des Pyrénées

rue des Pyrénées